Lundi 15 juin 2009 1 15 /06 /Juin /2009 16:51

Être gynarchiste n'a rien d'un mépris envers le mâle , mais la certitude que nous sommes bien le sexe fort et eux le sexe faible, même si les femmes occidentales font semblant de leur laisser croire que....

Elles savent très bien que nous sommes l' autorité réelle. Rien de plus facile que de les faire manger dans notre main. Je suis sûrement moins hypocrite et plus authentique que mes consoeurs, mais aussi libérée du besoin sexuel dît copulatoire, m'offrant une liberté qu'elles n'ont pas et qui les obligent à un compromis permanent pour se sentir " femelle"...Je ne dis pas "femme" car confondre encore sentiment avec le désir sexuel est lamentable pour l'espèce dominante que la race humaine est .Confusion entre les sentiments amoureux et besoins sexuels d'être remplie

« Si il ne me baise pas c'est qu'il ne m'aime pas »!  Combien de fois ai-je entendu des godiches me tenir ce genre de propos " instinctuelle". Je préfère ne pas perdre mon temps,  par moment il vaut mieux se taire et faire ainsi l'économie de propos qui de toutes façons resteront hermétiques aux cerveaux de ces représentantes de mon sexe. Quelle représentation !

Ce blog de toute les façons n'est pas fait pour elles car leurs centres d'intérêts est la dernière machine à pain ou le blog insipide sur leurs rejetons avec une panoplie de photos ou leurs dernières  vacances dans un paradis pour touristes de masse ou pour parler de leurs chats etc...Mais parler de leurs "chattes" et de l'inter-liaison avec leurs synapses, il ne faut pas rêver. Leur humanité n'a pas encore dépassé leurs instincts.

Je n'ai pas plus de point commun avec ces femmes décrites que j'en ai avec le koala , le kangourou ou le clebs du voisin. A choisir je préfère des mâles ou sous-mâles corvéables. Au moins, eux, m'apportent  bien des délices et des

satisfactions ou plaisirs pervers chaque jour que la vie fait à mes bottes ou bien en dessous de mes bottes. Sourire.

Je suis toujours plus dure avec celles de mon sexe qu'avec un mâle ! Car leurs natures devraient les rendre plus subtiles. Elles me font "honte" avec leurs toiles d'araignée sur la chatte  et leurs bouchons de liège dans le cul,

leurs bouches en cul de poule. Jouant les éternelles victimes et les prudes sociales , misant leurs existences sur un modèle de mère. N'étant plus que des matrices choquées faussement de tout. Superficielles, dénuées d'esprits et  bien incapable, très souvent , de faire la part des choses...

La différence avec une gynarchiste c'est qu'elles ne sont plus que l'ombre d'elles-mêmes  silencieuses derrière « leur mâle social » Alors que, nous , les mâles restent dans notre ombre asservis, n'ayant nul besoin de leurs phallus inutile, mais de leurs langues et leurs bouches serviles sur simple claquement de doigts , à nos pieds en contre plongée ayant comme plaisir d'admirer leurs déesses inaccessibles et infiniment supérieures à eux  qui sont selon mon point de vue pervers de verticalité , des simples animaux, jouets ou choses auquel pour ma part j'ôte toute identité sociale et même toutes formes d'humanité. Ce qui ne fait pas de moi une sadique d'aspect monstrueuse mais une*sadienne  perverse mais toujours très attentive au bien être psychique, moral et sexuel de mes larves.
 
Mais une véritable gynarchiste et maîtresse peut-elle asseoir réellement sur eux un pouvoir si physiquement elle n'est pas plus puissante, plus forte et qu'ils n'aient une crainte de leur maîtresse et propriétaire ?  Pour moi c'est

une évidence, une gynarchiste doit maîtriser des sports de combat, et savoir être violente et si nécessaire sans aucunes pitiés pour réprimer toutes tentatives des mâles à se rebiffer lors d'un dressage constant et permanent. Ils doivent être " l'homme battu " quotidiennement avec mesure.  Sourire. Sans dommages physiques sauf des traces !


Ne les abîmer pas mesdames, nous les aimons et y sommes très attachées. Parce-que justement nous les voyons entravés à nos pieds se donnant corps et âme à leur propriétaire reine? Je nourris comme toute authentique et sincère gynarchiste un amour puissant pour "ma chose", "mon objet", "ma larve", ou bien mon "animal domestique" grognant à ses chaînes, car il est ce que j'en ai fais, il est mon oeuvre. Lui ne me trahira jamais tant que je lui donne de l'attention et de l'affection mais aussi bien sur des coups quotidiennement avec force, imposant une emprise par la force et la crainte sous un flot d'insultes le rabaissant  et donc m'élevant , moi, à l'état de Déesse.
(Les coups sont de l'affection, ce sont des caresses plus fortes) Tant qu'il jouir régulièrement sous mes pieds et mon mépris il sera heureux. Masochiste pur, il deviendra sous mes coups , rampant de jours en jours toujours plus bas.

 

Ne croyez pas que il n'y ait pas une forme d'amour entre la maîtresse et sa larve dépendante d'elle. La relation est bien plus forte et intense que toutes autres formes de relations humaines, car il devient un "mineur" sous ma férule.

Il ne peut comme un animal domestique survivre sans moi, il le sait. Je le sais!  Son destin et lié au mien et cela irrémédiablement. Ce que l'on nomme la symbiose. J'en suis responsable . Le pouvoir c'est de donner de soit à celui à qui on à pris sa vie et son identité en juste retour. Le gynarchisme n'est pas la haine du mâle.  Bien au contraire! Mais comme le dit une de mes élèves : "En faire des animaux domestiques" pour certaines. Des latrines permanent pour moi et bien d'autres de mes consoeurs mais qui ne le crient pas sur tout les toits ! Et pour d'autres à l'esprit romantique bien plus humanisant,  des Nestor serviles 24 h24, ce qui n'est pas ma tasse de thé,  j'en conviens

Par Maitresse Selene
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  • : Gynarchiste amazone authentique Sportive de haut niveau vivant au Japon. En France que pour ses vacances désormais.Elle enseigne une discipline martiale. Adepte de sapho et lesbos.Depuis 15ans dans une discrétion totale elle dresse,conditionne, d'anciens mâles ayant abandonné leurs vies en latrines coprophage debilisés et animalisés à l'état de porc ou de déchets déshumanisés. Une docteur moreau inversée, dotée d'un esprit scientifique sadique ou la déesse Circé ré-incarnée
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