VASE DE NOCES fait partie de ces films obscurs qui se traînent une très mauvaise réputation depuis leur sortie, du fait des sujets "déviants" qu’ils traitent. Malheureusement, ceux qui crient le plus fort ne sont pas forcément ceux qui ont vraiment vu le film et il serait dommage d’écarter VASE DE NOCES de son champ de vision en raison de son contenu ou de sa notoriété. Certes, le réalisateur aborde la zoophilie et la coprophagie de très près, ce qui en fait donc un métrage pour public averti. Mais le film contient aussi un tout autre niveau de lecture qui en fait une véritable curiosité plutôt qu’une bande volontairement "trash"
Le Sujet à depuis été longtemps traité car il fascine et fascinera d'autant plus dans nos sociétés dites aseptisées sous une dictature du propre excessive, véritable plaie sociale culturelle ridicule. Il est donc "normal"(par opposition)que la coprophagie, l'animalisation, la régression, la zoophilie, les déviations perverses fascinent surtout dans le monde sado-masochiste authentique fermé aux non-avertis. Je ne suis donc pas "une fantaisie incarnée" ni une exception mais sûrement, plutôt, une femme émancipée mettant en scène et donnant vie entièrement à ses perversions sadiennes digne de Donatien de Sade.
Je laisse dans la rubrique "liens" l'url d'accès à ce film psycho, sombre, à mes consoeurs gynarques comme cadeau "épicé" estival. Un must d'une profondeur psychanalytique .Film étouffant , mettant l'accent sur les conséquences chez l'homme de la solitude affective qui, subit, devient une prison mentale, conséquence de l'indifférence des femmes et en premier lieu de la mère. Le coprophage, scatophile, coprophile est bloqué au stade anal sans aucunes échappatoires et ne peut s'auto-soigner comme la société bien pensante courroucée, auraient la facilité de rétorquer comme pirouette habituelle d'un mode de vie individualiste entraînant des dégâts considérables sur l'équilibre psychique de l'individu et en priorité du "mâle" bien plus dépendant affectif que la femme! J'ai toujours nourris un profond mépris pour ces charlatans universitaires que sont "les psychiatres" aveugles et singes savant imprégnés d'un savoir de façade qu'ils régurgitent comme des pélicans à une population ignorantes et fragilisées se jetant dans leurs fauteuils paternalistes et sans aucuns doutes moralisateurs (bien éloigné de la véritable psychanalyse qui elle, se doit d'être amorale) Ainsi par cet article,c'est l'occasion de répondre à tous ces mâles sots, dénués de jugeote qui en privé me fustigent de "ne pas aimer" les hommes ", de mepriser les males","de nourrir de la haine pour les hommes" Sourire amusé! Jugement dénué de reflexions ou bien reflexions d'apparences ne grandissant pas leurs auteurs, demontrant leur incapacité a réflechir en profondeur, rouages aprés rouages!
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