Le blog de Maitresse Selene

Quand outre-Rhin, nos amis allemand conjuguent de manière humoriste,  en cartes de voeux un délicieux
 porcelet voyageant en train, bourse pleine, au singulier ou au pluriel ? L'idée que cela soit "pluriel" parait 
plus judicieux ! Qu'est ce qui fait courir ces délicieux pourceaux ? Se goinfrer d'une part et jouir d'autre 
part de manière extatique. Mais pour un "porc" se goinfrer et jouir et intimement lié, mesdemoiselles.....!
""Prosit Neujahr" Bonne année excrémentielle mon pourceau. Rire "Du bist ein schwein"..Ja!Ja!..Ja.. Piss mein mund bite ! Sourire Allons bon, Allons bon, je vois des porcs scatophiles de partout, mais autant dire que la réalité humoriste cache nécessairement , toujours des messages plus profond. L'humour à toujours été utilisé pour faire passer les choses les plus graves ou les plus choquantes. Encore une fois l'état d'esprit dans lequel on est, et que l'on entretien us égard du sexe, de la sexualité et des ses délicieuses paraphilies sera soit  source d'epanouissement  soit source de frustrations. La légèreté de l'esprit face à des moeurs sexuels pervers et donc automatiquement intéressant. Il n'y à de l'intérêt que dans toutes les perversités . La rigidité psycho-sexuelle par mimétisme de la société dans son ensemble est un message de "mort" et de non vie! . La vie et le plaisir n'a que faire de la morale castratrice de nos pères , car illégitime. Quelque soit vos inclinaisons sexuelles mesdemoiselles, laissez vous allez a l'insoutenable légèreté de l'être et non du cadavérisme social, anti-chambre de votre mort! Vivre c'est jouir.Quelque soit notre sexe d'appartenance notre motivation profonde est le plaisir ou devrais-je dire les plaisirs, tous les plaisirs et non une pseudo dictature des plaisirs "acceptables" et des plaisirs "inacceptables" Qui peut décider ce qui est acceptable. Ridicule ! Mais
revenons à notre gravure .Pourceau voyage en redingote avec sa bourse pleine et ses bourses pleines. Regarde t-il le paysage ou est-il plongé dans ces méandres de délicieux pourceau en appétence de vos remugles intimes , se demandant quel goût aura la "merde" de Maîtresse Sélène ainsi que sa "pisse" ? Ou  de la votre ? Éclat de rire! Amusante que cette estampe teutonne. Il est vrai que nos amis allemands ont un goût très marqué pour les délices scatophiles et urophiles. Mozart n'était pas une exception. Aujourd'hui en Europe ils sont "une référence". Regardez donc un peu toute la littérature allemande ainsi que l'industrie pornographique tourné en masse chez eux vers les pratiques sado-masochistes , scatophiles et urophiles. A noter que chez eux les films sont tournés avec un raffinement exquis et une beauté "perversement créative" trés fetichiste  et suggestive.
Lun 20 jui 2009 5 commentaires
Encore une fois Maitresse Selene fait mouche avec une intelligence et une finesse qui l'honore . Capable de parler du sale, du crade, de la merde de la pisse (et des porcs scatophiles coprophages que nous aimons pour certains etre et se perdre un instant
dans un avilissement magnifiquement apaisant) avec un detachement sans vulgarite
sans choquer personnes, ni par son texte ni par les dessins affichés. Du grand art !

afficondios - le 20/07/2009 à 04h58
Encore un must ce pamflet, parlez de " merde " et de " pisse " sans être vulgaire , c'est encore un tour de force

votre relent
roland solaz - le 21/07/2009 à 10h39

« L’ELEVAGE D’UN POURCEAU : DERNIER JOUR : L’EXTASE » (extrait d’une première version)

 

Dans le regard concentré et comme absent de Maîtresse, toujours rivé à mes yeux écarquillés, je compris vaguement que ses excréments commençaient à forcer l’avant-dernière porte de son sphincter. Sur le moment, je n’en ressentis rien :  la tête renversée en arrière, j’officiais toujours au nettoyage méticuleux des traces de sa dernière défécation, les narines remplies des remugles de sa corolle de pétales largement déployées à un centimètre de mon nez. Mais bien vite, je  sentis sur ma langue une légère poussée en avant de son anus sous l’effet de la contraction de son muscle annal.

 

« Arrête de me lécher, sale pourceau ! » : brusquement, Elle renversa de plusieurs degrés en arrière la lunette de son siège et ma tête se redressa à la verticale en suivant le mouvement de bascule de ses reins. De ses mains agrippées à mes cheveux, Elle plaqua violemment ma figure dans la raie largement ouverte de son fessier. Instinctivement, j’ouvris grand la bouche, l’arrondis en cul de poule et collai hermétiquement mes lèvres tout autour de son anus. J’avais toujours les yeux rivés sur le regard de Maîtresse, mais j’avais échangé un douloureux torticolis contre un tout aussi douloureux lever des pupilles vers le haut qui devait me donner, à voir son air de satisfaction narquoise, un air de Suppliant face à sa Déesse.

ded - le 24/07/2009 à 17h55
A quand les prochains articles?

Merci
Jul - le 04/09/2009 à 14h52
bonjour divinité
je n'ai pas compris grand chose à vos tableaux animaliers
je suis un porc vous êtes une muse vous êtes beauté et intelligence
je suis médiocrité vanité inferiorité. Je reconnais votre superiorité.

Bonne année 2010 gynarchique
bernard - le 28/12/2009 à 01h09